urgence

Je n'ai pas appris à vivre, Marianne Oswald

Spectacle

Fontaines 89130

Du 22/11/2025 au 23/11/2025

Mise en scène Sylvie Pothier avec Sandrine Manteau et Jocelyn Saviard (piano). Jacques Prévert disait de la voix de Marianne Oswald qu’elle était celle de ceux qui ne chantaient pas, de ceux qui ne chantaient plus ou qui n’avaient jamais osé chanter, une voix de tour du monde, d’émigrée, de naufragée… Jean Cocteau la baptisa « La torche du chant », Albert Camus l’entendait violente et tendre, lave passionnée et source fraîche… Marianne chanta la révolte, le désespoir et la difficulté de vivre avec d’autant plus d’acuité et d’urgence qu’elle les avaient vécus dans son enfance, elle cria les mots de ses amis poètes à gorge déployée, elle qui, adolescente, avait failli perdre la voix. Sa trajectoire fut aussi stupéfiante et têtue que son œuvre.

Je n'ai pas appris à vivre, Marianne Oswald

Fontaines 89130

Du 22/11/2025 au 23/11/2025

Mise en scène Sylvie Pothier avec Sandrine Manteau et Jocelyn Saviard (piano). Jacques Prévert disait de la voix de Marianne Oswald qu’elle était celle de ceux qui ne chantaient pas, de ceux qui ne chantaient plus ou qui n’avaient jamais osé chanter, une voix de tour du monde, d’émigrée, de naufragée… Jean Cocteau la baptisa « La torche du chant », Albert Camus l’entendait violente et tendre, lave passionnée et source fraîche… Marianne chanta la révolte, le désespoir et la difficulté de vivre avec d’autant plus d’acuité et d’urgence qu’elle les avaient vécus dans son enfance, elle cria les mots de ses amis poètes à gorge déployée, elle qui, adolescente, avait failli perdre la voix. Sa trajectoire fut aussi stupéfiante et têtue que son œuvre.

L’expo des expos Cézanne au Pavillon de Vendôme en 1956 et 1961

Exposition, Peinture, Dessin - Collage, Patrimoine - Culture

Aix-en-Provence 13090

Du 19/06/2025 au 02/11/2025

Le Musée du Pavillon de Vendôme restauré et ouvert au public en juillet 1954, a accueilli deux expositions magistrales de Cezanne en 1956 et en 1961. L’exposition de 1956 proposée dans le cadre du cinquantenaire de la mort de l’artiste présentait 90 œuvres dont plusieurs sur le thème de la Sainte-Victoire. 66 peintures, 21 aquarelles et 3 dessins répartis entre le premier et le second étage (bureaux actuels, aujourd’hui inaccessibles au public). Quant au rez-de-chaussée il était consacré à un hommage à Mozart avec un manuscrit de « Don Juan » dans le cadre du Festival International d’Art Lyrique. Cette exposition a été organisée en "urgence" sous l’impulsion et l’implication de Léo Marchutz (délibération du Conseil Municipal du 7 mars 1956), et s’est immiscée après bien des vicissitudes et des querelles de territoires entre celles de La Haye et de Zurich, qui elles ne compteront que 35 œuvres ! La volonté et la particularité de l’exposition d’Aix au Pavillon de Vendôme étaient de rassembler des œuvres "provençales". L’exposition de 1961 coorganisée avec la ville de Vienne présentait une soixantaine d’œuvres : 22 peintures, 20 aquarelles, 19 dessins. Elle fut coorganisée[...]

Valises !

Patrimoine - Culture, Exposition

Besançon 25000

Du 27/05/2025 au 31/12/2025

À l’occasion du 80e anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale, le musée de la Résistance et de la Déportation de Besançon dévoile sa nouvelle exposition temporaire centrée sur un objet du quotidien, la valise. Synonyme d’évasion, de voyage ou de vacances, l’objet est polysémique et illustre d’autres réalités comme le déplacement ou l’urgence d’un départ sans retour de nombreuses régions du monde. À l’aune de la Seconde Guerre mondiale, la valise évoque de nombreuses réalités inscrites dans la mémoire collective. Celles de l’exil des Républicains espagnols, de l’exode, du combat de la Résistance, de l’extermination des Juifs, du rapatriement à la Libération et bien d’autres encore. À partir de ses collections et grâce à de nombreux prêts, le musée se propose d’explorer l’objet et ses usages. Musée d’histoire, outil citoyen, le musée de la Résistance et de la Déportation de Besançon poursuit ainsi sa réflexion sur l’histoire, les traces qui subsistent aujourd’hui les interrogations qu’elles suscitent dans notre monde contemporain.