photo Sculptures

Sculptures

Spectacle

Fontenoy 89520

Du 04/05/2025 au 29/06/2025

Chercher sous la cendre, avant le feu “Au fil des ans, mes recherches prennent des chemins d’explorations plus engageants. Je glisse de l’état de chasseur-cueilleur qui ramasse des pierres et des figures choisies pour leur aspect esthétique, les vénérant comme des trésors, à celui de cultivateur de formes. Mes prospections archéologiques tentent de ralentir le temps, sans doute en vain, jusqu’au moment où apparaissent des formes nouvelles. Elles émergent des états cachés de la matière telles les premières canettes assemblées, les compressions et les décompressions, les grandes plaques colorées, les assemblages de pièces oxydées découpées…Pour moi, il sera toujours question de matières pauvres ou ordinaires, transformées avec des outils de l’homme du commun, des ouvrages réalisés à l’empan de ma propre main. J’y guette la poétique de l’accident. Les fragilités heureuses pourraient s’y révéler tout comme pouvaient être dissimulées les idées dans les palimpsestes. Je me concentre sur le « compost» des réalisations que produit l’atelier, une sorte de permasculpture, si j’ose m’exprimer ainsi.” Olivier Frémont

photo Sculptures

Sculptures

Sculpture

Fontenoy 89520

Du 04/05/2025 au 29/06/2025

Chercher sous la cendre, avant le feu “Au fil des ans, mes recherches prennent des chemins d’explorations plus engageants. Je glisse de l’état de chasseur-cueilleur qui ramasse des pierres et des figures choisies pour leur aspect esthétique, les vénérant comme des trésors, à celui de cultivateur de formes. Mes prospections archéologiques tentent de ralentir le temps, sans doute en vain, jusqu’au moment où apparaissent des formes nouvelles. Elles émergent des états cachés de la matière telles les premières canettes assemblées, les compressions et les décompressions, les grandes plaques colorées, les assemblages de pièces oxydées découpées…Pour moi, il sera toujours question de matières pauvres ou ordinaires, transformées avec des outils de l’homme du commun, des ouvrages réalisés à l’empan de ma propre main. J’y guette la poétique de l’accident. Les fragilités heureuses pourraient s’y révéler tout comme pouvaient être dissimulées les idées dans les palimpsestes. Je me concentre sur le « compost» des réalisations que produit l’atelier, une sorte de permasculpture, si j’ose m’exprimer ainsi.” Olivier Frémont

Ressources supplémentaires