photo François-Xavier Roth - Les Siècles | 100% Stravinsky

François-Xavier Roth - Les Siècles | 100% Stravinsky

Dijon 21000

Le 19/03/2022

Composé pour le livret de Fokine d’après un conte populaire, l’Oiseau de feu nous entraîne, dans la version « suite d’orchestre » de 1945, sur les pas d’Ivan Tsarévitch et de l’oiseau merveilleux. Danses infernales, scintillement des textures et superbes cantilènes se succèdent dans cette page sauvage et onirique. Confié à l’archet virtuose d’Isabelle Faust, le Concerto pour violon brille avec ceux de Bartók, Prokofiev ou Berg au firmament du genre, alternant frénésie et poignante nostalgie. Véritable totem de la modernité musicale, Le Sacre du printemps déploie quant à lui un formidable rite païen : partition révolutionnaire et « barbare » pour laquelle, un certain 29 mai 1913, on brisa les fauteuils du Théâtre des Champs-Elysées.

photo Mômes & Merveilles / L'histoire du soldat / Cie A L' Art'Bordage

Mômes & Merveilles / L'histoire du soldat / Cie A L' Art'Bordage

Beaune 21200

Le 30/12/2021

Un Soldat pauvre vend son âme -représentée par un violon- au Diable, contre un livre qui permet de prédire l'avenir. Après avoir montré au Diable comment se servir du violon, il revient dans son village. Hélas, au lieu des trois jours promis, le séjour passé a duré trois longues années... Personne au village ne reconnaît le Soldat : ni sa mère, ni sa fiancée qui s'est mariée... Dans une ambiance foraine, une histoire surréaliste, esthétique et poétique, rythmée par la musique de Stravinsky. mise en scène et interprétation : Rémi Verdier et Gilles Bouvier

photo François-Xavier Roth - Les Siècles | 100% Stravinsky

François-Xavier Roth - Les Siècles | 100% Stravinsky

Dijon 21000

Le 19/03/2022

Composé pour le livret de Fokine d’après un conte populaire, l’Oiseau de feu nous entraîne, dans la version « suite d’orchestre » de 1945, sur les pas d’Ivan Tsarévitch et de l’oiseau merveilleux. Danses infernales, scintillement des textures et superbes cantilènes se succèdent dans cette page sauvage et onirique. Confié à l’archet virtuose d’Isabelle Faust, le Concerto pour violon brille avec ceux de Bartók, Prokofiev ou Berg au firmament du genre, alternant frénésie et poignante nostalgie. Véritable totem de la modernité musicale, Le Sacre du printemps déploie quant à lui un formidable rite païen : partition révolutionnaire et « barbare » pour laquelle, un certain 29 mai 1913, on brisa les fauteuils du Théâtre des Champs-Elysées.

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