photo YAROL

YAROL

Pop - Rock - Folk

REIMS 51100

Le 05/03/2022 à 20:00

Composé et enregistré au vert, Hot Like Dynamite de YAROL a pris forme au studio Motorbass à Paris, au sommet d'une des collines les plus célèbres du monde : Montmartre. Ex-Continental studio à la fin des années 1990 (studio dans lequel Serge Gainsbourg, Jane Birkin ou encore Etienne Daho sont venus enregistrés) racheté par Philippe Zdar (membre de Cassius disparu tragiquement en juin 2019), Motorbass a vu défiler de nombreux noms : Phoenix, Beastie Boys, The Rapture, Franz Ferdinand, Metronomy et bien d'autres. Lors de sa sortie au printemps 2021, le contexte sanitaire est toujours incertain ce qui privera Yarol et son groupe d'une partie des dates de la tournée. Il décide alors de retourner à Motorbass, accompagné de ses musiciens et rejoint par Warren Futton de Ko Ko Mo et Lescop. En un après-midi, le groupe enchaine les morceaux de l'album. À la reprise des concerts, Yarol sort Hot Like Dynamite (Live @ Motorbass) sur les plateformes. Fidèle à son goût du métissage musical, le groupe s'amuse à mêler le rock et le funk, à rendre hommage au hard rock ou au rap, à fusionner new wave et sonorités africaines. Le résultat en live est explosif !

photo MAXIME LE FORESTIER

MAXIME LE FORESTIER

Spectacle musical

CHARTRES 28000

Le 05/03/2022 à 20:30

Pour accompagner la sortie de son nouvel album paru au printemps 2019, Maxime Le Forestier, l'inoubliable interprète de Mon frère, Né quelque part, La Maison bleue ou Passer ma route, repart en tournée cette saison sur les routes de France, après un passage au Casino de Paris. Paraître ou ne pas être, telle est la question de Maxime Le Forestier, et non des moindres ! Une interrogation terriblement contemporaine, mais que, pour sa part, il avoue avoir plus ou moins déjà résolue, longtemps avant l'avènement des réseaux sociaux. Presque six ans après Le Cadeau, Maxime Le Forestier revient avec une dizaine de nouveaux titres poétiques, réalistes ou ironiques, riches et limpides, avec l'élégance coutumière du chanteur et sa chaleur consolante. Dix chansons qui apparaissent sur l'album dans une forme très proche de leur interprétation sur scène, sans arrangements orgueilleux, sans grands gestes orchestraux, de l'être et non du paraître. Et comme à chaque disque, Maxime Le Forestier démontre l'acuité de son regard sur le monde, de la logorrhée numérique dans Les Ronds dans l'air, au désastre écologique dans Ça déborde, jusqu'au trouble politique français dans La Vieille dame,[...]