photo Les concerts d'estrées - récital du 1er février - satie et la beauté du silence

Les concerts d'estrées - récital du 1er février - satie et la beauté du silence

Chorale - Chant, Musique, Concert

Notre-Dame-d'Estrées-Corbon 14340

Le 01/02/2025

Pour le centenaire de la disparition d’Erik Satie, Emmanuel Pleintel propose un chemin musical hors du commun. Pas à pas, notes à notes, il emmènera le public vers les rives du silence. Il aura pour compagnon de route Satie lui-même et ceux qui, au XXème siècle, ne nourrirent de son inspiration, Cage, Glass, Monpou ou Arvo Pärt. Sans oublier les maîtres que vénérait Satie, Bach, Schumann ou Debussy. Un récital un peu mystique, certes, mais, joyeusement illuminé.

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Les concerts d'estrées - récital du 1er février - satie et la beauté du silence

Concert, Chorale - Chant, Musique classique

Notre-Dame d'Estrées 14340

Le 01/02/2025

Pour le centenaire de la disparition d’Erik Satie, Emmanuel Pleintel propose un chemin musical hors du commun. Pas à pas, notes à notes, il emmènera le public vers les rives du silence. Il aura pour compagnon de route Satie lui-même et ceux qui, au XXème siècle, ne nourrirent de son inspiration, Cage, Glass, Monpou ou Arvo Pärt. Sans oublier les maîtres que vénérait Satie, Bach, Schumann ou Debussy. Un récital un peu mystique, certes, mais, joyeusement illuminé.

photo Les Concerts d'Estrées

Les Concerts d'Estrées

Concert, Musique, Musique classique

Notre-Dame-d'Estrées-Corbon - 14

Du 11/20/2250 au 01/02/2025 à 18:30

Musicien normand né à Honfleur, Erik Satie fut un des précurseurs de la musique minimaliste, celle qui effleure sans cesse les rives du silence. Après lui, John Cage, Arvo Pärt, Federico Monpou ou Philipp Glass ont poussé plus loin encore les limites de l’indicible, limites qui cependant[...]

photo André Manoukian Apatride

André Manoukian Apatride

Concert, Musique

HEROUVILLE-SAINT-CLAIR 14200

Le 12/11/2021

L’Orient, mes grands-parents en furent chassés. Longtemps je fus allergique à ses excès, son sucre,  sa passion.Jusqu’aux retrouvailles, autour d’un piano : «- Pourriez vous me jouer quelque chose d’arménien ? »Une vague mélodie de ma grand mère égrenée d’un doigt hésitant…«- On dirait du Satie…»Et me voilà parcourant de nouveaux territoires sonores, armé de tambours sacrés Iraniens, d’un violoncelliste Turc, d’une chanteuse  Syrienne, d’un duduk Arménien, de rythmes  Alaturka, repoussant les frontières mentales pour dessiner les contours d’un paradis perdu, entre Vienne et Samarkhande, à la recherche d’éclats de spleen, pour retrouver, le temps d’un concert, l’âme de mes ancêtres.Source : Théâtre d'Hérouville