photo Spectacle - Accueil des enfants de Tchernobyl

Spectacle - Accueil des enfants de Tchernobyl

Danse - Bal - Cabaret, Chorale - Chant

Munster 68140

Le 22/03/2025

Notre tournée 2025 sert, comme tous les ans depuis 31 ans, à soutenir nos familles, écoles et enfants en Ukraine. Deux écoles de danse et de chant différentes (30 jeunes artistes) alterneront les performances Avec du folklore, des danses et des chants de leur pays d'origine, avec leur virtuosité, la beauté de leurs costumes traditionnels, et le sourire d’une jeunesse fière de pouvoir présenter leur savoir artistique, loin du bruit des bottes et des canons. Un programme de près de deux heures : Le groupe folklorique « Schedryk » est originaire de la ville de Slavuta, en Ukraine. L'équipe a été fondée en 2008 sur la base de l'École des Arts. Chorégraphe Directrice - Tatiana Malinovska, qui dirige actuellement. « Shchedryk » est une véritable famille unie par l'amour des traditions, des chants et des danses de leur patrie. Le credo de l'équipe : « Faisons le bien ensemble. » Le groupe Levenya Children’s Dance Theater est originaire de Lviv et a été fondé en septembre 2006 par la chorégraphe Nataliya Bondarchuk, qui le dirige actuellement. L'ensemble travaille dans diverses directions, étudie les danses folkloriques, classiques et modernes, ainsi que les bases de l'acrobatie.[...]

photo Spectacle

Spectacle "On n'a pas pris le temps de se dire au revoir"

Spectacle, Théâtre, Manifestation culturelle

CARVIN, 62220

Le 22/03/2025

Un homme, fils de parents algériens immigrés, assiste au même moment à la destruction de la cité de son enfance et à la disparition de la mémoire de son père. L’occasion de replonger dans son passé, ses origines kabyles, et de rassembler les morceaux de son histoire familiale. La culture berbère a bercé son enfance mais restait soigneusement calfeutrée à la maison, ses parents mettant un point d’honneur à l’intégration de leur famille en France, pays associé à la réussite. Alors, en quête d’une identité sans cesse redéfinie, Rachid Bouali se questionne : “qui sommes-nous ?”, avec l’étrange sentiment de ne jamais se sentir tout à fait à sa place. Dans un décor traversé par des objets dissimulés éveillant la mémoire, l’émotion contenue du comédien donne à ce récit une force immense. On n’a pas pris le temps de se dire au revoir vient s’inscrire dans la lignée de la trilogie autobiographique composée de Cité Babel, Un jour, j’irai à Vancouver et Le jour où ma mère a rencontré John Wayne. Une sorte de saga sociale et familiale où l’intime rejoint l’universel.