photo Exposition photos : Spiritualité de l'ombre

Exposition photos : Spiritualité de l'ombre

Photographie - Vidéo, Exposition

Cabriès 13480

Du 02/06/2024 au 22/09/2024

Originaire de Reggio Emilia, Vasco Ascolini débute sa recherche artistique en 1965 en tant que photographe de théâtre. Le jeu de l’obscurité et de la lumière dans les espaces restreints des scènes théâtrales lui inspire la ligne directrice de toute son œuvre. Sa maîtrise du clair-obscur l’amènera à inventer une manière nouvelle de photographier l’architecture et les musées qui ajoute à la virtuosité de la prise de vue des notes fantastiques. Très tôt remarqué aux Etats-Unis, notamment par l’historien Ernst Gombrich, ses œuvres y sont largement représentées (MoMA, Metropolitan Museum, Guggenheim Museum…). Le musée Réattu d’Arles fut l’un des premiers musées de France à accueillir ses œuvres. Originaire de Parme, Cesare Di Liborio s’est pris de passion pour la photographie au début des années 80, mais il affirme qu’il est devenu photographe quand il a connu Vasco Ascolini en 1992. La notion de limite, de frontière entre la vie et la mort, constitue le fil conducteur de son œuvre. Le travail exceptionnel de la matière de l’image photographique, la variation des noirs profonds ainsi que celle de la gamme des gris, au-delà d’une prouesse technique, sont un thème à part entière[...]

photo Les Rencontres d'Arles - Exposition au nom du nom - Les surfaces sensibles du graffiti

Les Rencontres d'Arles - Exposition au nom du nom - Les surfaces sensibles du graffiti

Peinture, Photographie - Vidéo

Arles 13200

Du 01/07/2024 au 29/09/2024

Le graffiti patine avec la matière précaire du réel. En pure perte, il est un sentiment, une attitude, un mode opératoire. Libéré de son esthétique, le graffiti est un rapport mental et physique des marges, une écriture originelle des ombres de la préhistoire et de l’enfance. Depuis les signes des hobos et ceux qui évangélisaient la carcasse du métro argent de New York depuis 1970, le graffiti est une écriture cinétique, elle emprunte les perspectives des rails qui lacèrent les pays-sages. Peinture du déséquilibre, le graffiti s’érige sur la verticalité de l’architecture, ses recoins, sa crasse, ses impasses. Le vandalisme est un soin venu illuminer les surfaces oubliées. Il est romantique : le graffiti tue le temps. Peinture de l’urgente patience, il faut attendre pour agir vite. Peinture opaque, le graffiti (dé)compose des langages communautaires. Il y est question d’identité choisie, de style, de flow saccadé, de dégaines, de couleurs, de remix tête en bas mise à terre. Peinture de la faille, le graffiti est une excroissance. Langage des contestations, il est aussi un processus de domination: une écriture masculine toxique. L’humanité est née tagueuse. La signature est[...]

photo Les Rencontres d'Image de Ville - Cinéma et architecture : une relation vivante (projection-débat)

Les Rencontres d'Image de Ville - Cinéma et architecture : une relation vivante (projection-débat)

Cinéma

Marseille 13000

Le 18/10/2024

Cinéma et architecture : une relation vivante Par Christophe Catsaros Arc en rêve – centre d’architecture (Bordeaux) Les liens entre architecture et image animée sont multiples et parfois inattendus. L’architecture et la ville sont la matière première du cinéma. L’inconscient collectif des villes est incontestablement cinématographique. C’est la raison d’être d’un programme de recherche d’arc en rêve intitulé Écrans Urbains. Mais cette liaison intime entre ville et cinéma ne résume pas tout. Aujourd’hui l’image animée est en train de devenir un outil de représentation à part entière dans les mains des professionnels et des amateurs d’architecture. Comme autrefois la photographie, le film acte une forme de démocratisation de l’accès à l’oeuvre architecturale. Atmosphérique, filmer l’architecture (exposition d’Arc-en-Rêve de 2023-2024) proposait en 2023 d’interroger la manière dont les moyens filmiques sont en train de changer la représentation architecturale.

photo Partagez votre regard photographique sur Martigues, ville lumière

Partagez votre regard photographique sur Martigues, ville lumière

Photographie - Vidéo

Martigues 13500

Le 21/12/2024

Lors de cette expérience unique, vous aurez l'occasion de parcourir les ruelles pittoresques, les ponts élégants et les quais animés de Martigues, tout en perfectionnant votre art de la photographie de nuit. Accompagné d’un photographe professionnel, vous découvrirez les meilleurs points de vue pour saisir la ville dans toute sa splendeur lumineuse, des reflets scintillants sur les canaux aux jeux de lumière qui mettent en valeur l’architecture historique. Pourquoi choisir notre visite photographique à Martigues, ville lumière ? - Perspectives nocturnes uniques : Capturez Martigues sous les étoiles, où chaque coin de rue devient une scène illuminée à photographier. - Expertise professionnelle : Apprenez à maîtriser la photographie de nuit avec les conseils d’un guide photographe expérimenté. - Décor enchanteur : Immortalisez la ville dans une ambiance féerique, où l'eau et la lumière se rencontrent pour créer des vues spectaculaires. - Moments magiques : Profitez d'une atmosphère sereine et apaisante pour capturer des images authentiques et inoubliables. Que vous soyez un photographe amateur ou un passionné de belles images, cette visite est l’occasion idéale[...]

photo Fragile Concrete - Maria Svarbova

Fragile Concrete - Maria Svarbova

Photographie - Vidéo

Marseille 13000

Du 26/06/2021 au 27/08/2021

Un travail dans lequel l’artiste ajoute à ses thèmes de prédilection - l’architecture moderniste et la distance sociale entre les individus, une variation mythologique sur notre expérience d’isolement, en même temps qu’un hommage solaire au génie des lieux. Kolektiv Cité Radieuse, galerie dédiée à l’impact des mouvements architecturaux du 20e siècle dans le design et les arts visuels, établie à l’Unité d’Habitation de Marseille, a convié la photographe slovaque Maria Svarbova à réaliser une série de clichés explorant la relation des êtres humains à la "machine à habiter" conçue par Le Corbusier. Bien qu’elles portent l’empreinte évidente de leur auteure et de sa vision de la relation des individus à l’esthétique moderniste, ces photos marquent aussi une nouvelle étape. La lumière aveuglante de la Méditerranée, le béton blanchi évoquant les falaises environnantes, les veines du bois imprimées dans les murs de l’Unité d’Habitation, créent ainsi des interférences naturelles dans l’univers esthétique essentiellement urbain de l’artiste. L’incommunicabilité entre un homme et une femme que ces clichés évoquent, résonne avec notre environnement actuel, mis en abime par[...]

photo Traces d'usines

Traces d'usines

Photographie - Vidéo, Patrimoine - Culture

Marseille 13000

Du 04/06/2021 au 09/07/2021

Un jour, je suis allé dans le quartier des Riaux, au bout de l’Estaque, à Marseille, avec quelques contacts en poche et mon inséparable appareil photo. Après un long trajet en bus du centre ville, du terminus du 35. J’ai monté les premiers escaliers et parcouru les ruelles, croisant l’impasse des usines, puis la montée des usines et même, plus loin, le chemin de la Nerthe. Autant de paysages des films de Guédiguian en tête ! J’ai rencontré des gens, des femmes, qui avaient des choses à dire sur la vie de leurs maris ou de leurs parents et grands parents qui avaient travaillé dans les usines, là haut…. Après une première série de photos, Femmes d’usines, en mars 2019, je suis revenu au début de l’été 2019, car j’avais aussi rencontré une architecture, des friches, des rues, une femme centenaire, Marie Brau, qui m’avait montré de vieilles photos de Kulhmann et d’anciens salariés, d’autres usines. Que de souvenirs en eux, mais où étaient-elles ces usines ? A la recherche de traces, tel un arpenteur, j’ai parcouru d’autres chemins, d’autres ruelles, j’ai à nouveau écouté d’autres histoires, d’autres récits avec ce questionnement toujours présent que ne pouvait[...]

photo For Whom The Bell Tolls (Go) - Camille Fallet

For Whom The Bell Tolls (Go) - Camille Fallet

Photographie - Vidéo, Exposition

Marseille 13000

Du 19/06/2021 au 25/09/2021

Vernissage le vendredi 18 juin de 19h à 21h. Camille Fallet est l'invité d'honneur du festival Photo Marseille 2020. Si vous regardez Glasgow en vue aérienne, elle vous semblera bombardée. Ce qui fut la seconde ville de l’empire britannique, son grand port du métal, de la construction navale et de l’ingénierie ferroviaire, n’est aujourd’hui qu’une ruine restaurée à la sauvette. Sa forme est, pour l’essentiel, la trace de la révolution industrielle et de l’âge d’or victorien. L’architecture de cette période recouvre à peu près la stylisation et l’appropriation de tous les courants architecturaux des grandes civilisations. Elle orne son commerce, son administration, ses cultes et son habitat. L’uniformité des grès rouges et ocres renforce son effet de décor. Glasgow fut splendide, riche et puissante. "J'ai photographié Glasgow pour l'essentiel à la chambre photographique 4x5 en m'attachant à ce que chaque lieu et objet que je transcris soit comme l’indice le plus exemplaire et le plus éclatant de son esprit." Camille Fallet Le travail de Camille Fallet à Glasgow a été réalisé suite à deux résidences organisées par le Centre Photographique Marseille dans le cadre de[...]

photo Ethiopie

Ethiopie

Photographie - Vidéo

Arles 13200

Du 19/02/2022 au 23/03/2022

Cette exposition de photographies de François Pache propose un parcours en Ethiopie à travers deux séries d’images : L’Abyssin et les Peuples de l’Omo. L’Abyssin: une série de portraits dont les regards semblent, comme ce pays, suspendus entre ciel et terre, dans un autre temps. Par la force et l’intensité de leur expression, ils témoignent chacun d’une rencontre, dans une présence authentique à l’autre, au-delà des mondes qui nous séparent. Peuples de l’Omo : Ici, rites et coutumes heurtent au 1er abord notre sensibilité, ils nous questionnent sur le juste regard : ni voyeurisme, ni exotisme, ni jugement. Poser simplement un regard neutre sur les faits, ouvert à la présence de l’autre et à son humanité. La photographie, pour François Pache, est une deuxième vie qui s’entremêle avec son riche parcours d’ingénieur (succession de postes à responsabilités dans de grandes entreprises). S’étant exercé à des genres photographiques variés (voyage, architecture, l’abstrait, le portrait dans des cultures lointaines), François Pache pratique la photo « parce qu’elle invite à développer un autre regard sur le monde et stimule la créativité, réel outil de développement personnel.» Son[...]

photo Photographie, thé et gourmandises japonaises

Photographie, thé et gourmandises japonaises

Exposition, Patrimoine - Culture, Photographie - Vidéo

Arles 13200

Le 27/03/2022

Dans le cadre de l’exposition « (Un autre) éloge de l’ombre » prolongée jusqu'au 15 mai, le musée Réattu propose de déguster d’authentiques thés japonais ainsi que des gourmandises élaborées spécialement pour le studio « Vague », antenne arlésienne de l’architecte d’intérieur japonais Teruhiro Yanagihara basé à quelques pas du musée, au rez-de-chaussée de l’hôtel de Grille. La séance permettra de comprendre comment les arts japonais, qu’il s’agisse de photographie, d’artisanat, d’architecture ou de gastronomie, sont intimement liés, tout en découvrant l’espace d’exposition du studio Vague, dans un site prestigieux du patrimoine arlésien. Par Andy Neyrotti, commissaire de l’exposition, avec Fanny Pellegrin, directrice artistique, et Stéphanie Jabir, collaboratrice du studio « Vague ». Durée : 1h30. Billet d’entrée + 5€ par personne (comprend l’entrée, la visite et la dégustation), 20 personnes maximum. Sur réservation avant le vendredi 25 mars à 17h, au 04 90 49 37 58 ou reattu.reservation@ville-arles.fr