photo LE ROMANTISME ALLEMAND

LE ROMANTISME ALLEMAND

Musique classique

LILLE 59000

Du //000 au //099

LE ROMANTISME ALLEMAND Un programme musical à donner le frisson ! Mercredi 23 février - 20h Jeudi 24 février - 20h BEETHOVEN Concerto pour piano n° 5, « l'Empereur » WAGNER Tristan et Iseult, Prélude de l'acte I SCHOENBERG La Nuit transfigurée Tabita Berglund Direction Rafa³ Blechacz Piano Orchestre National de Lille Depuis sa victoire au prestigieux Concours Chopin de Varsovie en 2005, Rafa³ Blechacz poursuit une carrière extraordinaire. Pour sa venue exceptionnelle à Lille, le pianiste polonais propose l'une des partitions les plus majestueuses du répertoire. Dédié à l'Archiduc Rodolphe d'Autriche, le Concerto n°5 dit l'Empereur évoque en filigrane Napoléon Bonaparte, dont Beethoven disait crânement : « Dommage que je ne m'y connaisse pas autant dans l'art de la guerre qu'en musique, sinon je le vaincrais ! ». La jeune cheffe norvégienne Tabita Berglund dirige également deux chefs-d'œuvre du romantisme allemand. Tout d'abord, le sublime Prélude de Tristan et Iseult , puis la frissonnante Nuit transfigurée de Schoenberg. Un torrent de passions qui va vous faire chavirer ! A partir de 5 ans Tarif enfant : -16 ans

photo Tempest Project

Tempest Project

Dijon 21000

Du /00/1e16 au //099

Peter Brook a plusieurs fois monté La Tempête. Pour cette création de 2021, initiée au Théâtre des Bouffes du Nord à Paris, Marie-Hélène Estienne et lui ont opté pour leur adaptation de la pièce de William Shakespeare, la dernière écrite par le célèbre dramaturge, selon eux. Cette version est voulue concentrée, « écourtée des mises en scène compliquées ou somptueuses » attachée à l'oeuvre originale. « Libre », le mot de la fin, résonne en filigrane et en écho. En effet, La Tempête est un conte où rien ne peut être pris à la lettre ; c'est une énigme traversée par l'idée de liberté recherchée aussi bien par l'esprit Ariel, l'esclave Caliban que le Magicien Prospero, confinés à leur façon sur une île, dans le passé voire à l'intérieur d'eux-mêmes. Ce n'est pourtant pas l'art de la magie qui libère Prospero, dévoré par le désir de se venger de ceux qui l'ont trahi et forcé à l'exil, mais le pardon notamment quand il verra l'amour que ressent sa fille Miranda pour le fils de son ennemi juré, le roi de Naples.