photo Le Sablier

Le Sablier

Musique, Lecture - Conte - Poésie

Couches 71490

Le 10/01/2025

« Le Sablier » c’est le récit autobiographique d’un jeune artiste, Lucas Gimello, auteur interprète et metteur en scène de son Seul en Scène. Pourquoi toujours raconter la vie d’un grand homme qui a fait de belles choses quand on peut aussi laisser la parole à un garçon méconnu, n’ayant rien fait de spécial ? C’est là tout le propos de ce spectacle, dans lequel se mêlent tantôt adresse au public, tantôt interprétation de personnages, humour, émotion, poésie, mime, danse et musique. Des propos peu élogieux de sa mère à sa naissance à son rêve de changer le monde, en passant par l’absence de son père, le théâtre ou ses angoisses, « Le Sablier » est une sorte de livre ouvert à quiconque voudra lire ses pages, de la plus blanche à la plus noire. Ce Seul en Scène s’adresse à tout public et rend hommage à l’insouciance enfantine, celle à laquelle on tient mais qui s’éloigne petit à petit. Il raconte avec dérision, l’extraordinaire banalité de l’existence et s’inspire des gens qui nous entourent, car après tout : on est un peu de nous-mêmes, mais beaucoup des autres.

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Le 10/01/2025

« Le Sablier » c’est le récit autobiographique d’un jeune artiste, Lucas Gimello, auteur interprète et metteur en scène de son Seul en Scène. Pourquoi toujours raconter la vie d’un grand homme qui a fait de belles choses quand on peut aussi laisser la parole à un garçon méconnu, n’ayant rien fait de spécial ? C’est là tout le propos de ce spectacle, dans lequel se mêlent tantôt adresse au public, tantôt interprétation de personnages, humour, émotion, poésie, mime, danse et musique. Des propos peu élogieux de sa mère à sa naissance à son rêve de changer le monde, en passant par l’absence de son père, le théâtre ou ses angoisses, « Le Sablier » est une sorte de livre ouvert à quiconque voudra lire ses pages, de la plus blanche à la plus noire. Ce Seul en Scène s’adresse à tout public et rend hommage à l’insouciance enfantine, celle à laquelle on tient mais qui s’éloigne petit à petit. Il raconte avec dérision, l’extraordinaire banalité de l’existence et s’inspire des gens qui nous entourent, car après tout : on est un peu de nous-mêmes, mais beaucoup des autres.