photo Cinéma itinérant

Cinéma itinérant

Magny-Cours 58470

Le 26/02/2025

L'Association Sceni Qua Non propose à la Station de Magny-Cours 3 séances: -14h:Slocum et moi Début des années 50, sur les bords de Marne, François, un jeune garçon de 11 ans, découvre avec intérêt que ses parents entament, dans le petit jardin familial, la construction d'un bateau, réplique du voilier du célèbre marin Joshua Slocum. Au long des années, dans une France d'après-guerre, le jeune François va voguer de l'adolescence à l'âge adulte. Au fil de la construction du bateau, tout en portant un regard tendre et poétique sur sa mère et son père, le jeune garçon entamera sa propre aventure, celle qui le mènera sur le chemin de ses passions, la mer et le dessin. -15h30: Renard et Lapine sauvent la forêt Il se passe des choses étranges dans la forêt ! Hibou a disparu, des rats malicieux terrorisent le voisinage et un lac déborde, menaçant les maisons des habitants de la forêt. Serait-ce l'œuvre d'un castor mégalomane ? Renard et Lapine sont bien décidés à le découvrir. Ils doivent retrouver Hibou et sauver la situation. Leur amitié sera mise à rude épreuve ! -20h: Sarah Bernhardt Paris, 1896. Sarah Bernhardt est au sommet de sa gloire. Icône de son époque et première[...]

photo Vertikal | Mourad Merzouki

Vertikal | Mourad Merzouki

Dijon 21000

Du /00/1e16 au //099

Lutter, pied à pied, avec le poids des conventions. Affronter, mano a mano, la dureté de la rue. Se travailler au corps pour s’élever au-dessus de soi-même. Le hip-hop est né ainsi, vers la fin des années 60. Et parce qu’il se pratique toujours dans cet esprit, il n’a rien perdu de sa force d’affirmation. Mais comme pour toute forme d’expression émergente, son jaillissement de formes s’est précisé, discipliné avec le temps. Quelques créateurs s’en sont emparés, l’ont hybridé avec d’autres styles pour le conduire vers des horizons inédits. Mourad Merzouki est de ceux-là. Il a grandi dans le hip-hop et l’a fait grandir à son tour. Vertikal, avec le K qui est un peu sa marque de fabrique (et l’initiale de la compagnie Käfig, qu’il a fondée), marque une nouvelle étape de sa recherche. Le projet paraît hanté par un rêve aussi vieux que la danse : être libre comme l’air, devenir léger comme un souffle. Une utopie qui est ici réalisée à l’aide de techniques empruntées au cirque. Pour lancer sa troupe à la conquête de la danse verticale, le directeur du Centre chorégraphique national de Créteil et du Val-de-Marne s’est aussi appuyé sur un espace de hautes parois ponctuées de prises[...]