photo STABAT MATER DE POULENC

STABAT MATER DE POULENC

Musique classique

ST DENIS 93200

Du //000 au //099

STABAT MATER DE POULENC DISTRIBUTION Jodie Devos *, soprano Sophie Karthauser **, soprano Chœur de l'Orchestre de Paris , Orchestre National de Lille , Alexandre Bloch , direction PROGRAMME Poulenc Stabat Mater* Britten Les Illuminations** Troisième Stabat Mater de cette édition c'est le chef-d'œuvre que Poulenc compose à la mémoire de son ami Christian Bérard dont le nom reste lié aux décors qu'il a conçus pour les films de Jean Cocteau et les pièces de Louis Jouvet. L'œuvre créée en 1951 connut immédiatement un grand succès tant en Europe qu'aux Etats-Unis, qui ne s'est pas démenti depuis. La partie de soprano est interprétée par Jodie Devos dont c'est la première participation au Festival. Les Illuminations de Britten sur des poèmes de Rimbaud, sont l'occasion d'entendre la voix de Sophie Karthäuser. Basilique Cathédrale de Saint-Denis – 1, rue de la Légion d'Honneur – Saint-Denis Métro - ligne 13 : arrêt Saint-Denis Basilique – Sortie centre-ville RER D : arrêt Gare de Saint-Denis (+ 10 minutes à pied ou correspondance en tramway) Ligne H : arrêt Gare de Saint-Denis (+ 10 minutes à pied ou correspondance en tramway) T1 : arrêt Saint-Denis Basilique Parking[...]

photo APRES JEAN-LUC GODARD

APRES JEAN-LUC GODARD

Théâtre

AUBERVILLIERS CEDEX 93304

Du 10/03/2022 à 19:30 au 20/03/2022 à 16:00

Le cinéma de Jean-Luc Godard a bouleversé les codes narratifs, d'abord en montrant une jeunesse alors absente des écrans, avec sa façon d'être, de bouger, de parler – nouvelle vague du sentiment, et nouvelle génération d'acteurs et d'actrices. Le cinéaste se passionnera ensuite pour la politique, demandant à l'art de devancer le changement radical du monde, si férocement espéré, avant de se replier vers la méditation inquiète des signes et de l'histoire. À quatre-vingt dix ans passés, et après plus de cent films, il ne cesse, aujourd'hui encore, de lutter contre la standardisation des récits et des images, contre l'endormissement, surtout, de la sensibilité et de la pensée. Comment cet héritage, si libre et si plein de fantômes, peut-il s'inscrire et se continuer au théâtre ? Faisant le pari de s'émanciper de Godard sans rien en rejeter, Eddy D'aranjo invente avec son équipe une forme dévoilée alliant fiction et documentaire, littérature, performance et mise à jour du processus de création. Sans renoncer ni au lyrisme ni à la beauté, la volonté de perturber le cadre de la représentation y rejoint la nécessité de rendre visible la part négative du réel, sa brutalité contemporaine[...]