photo Courts métrages des jeunes réalisateurs - École Les Ateliers du Cinéma de Claude Lelouch

Courts métrages des jeunes réalisateurs - École Les Ateliers du Cinéma de Claude Lelouch

Cinéma

Saint-Amour 39160

Le 26/02/2025

Moyen-métrage de Laura Blazquez-Pachon – France – 2024- VF 0h18 Avec Lucinda Ilardo, Apolline Dujon et Pierre Lavalette Animé par Fabien Baumann Maëlis va quitter la boutique où elle avait tant aimé travailler. Lucie, sa collègue et amie, ne comprend pas. Elle ne veut pas croire à ses projets de voyages. On toque à la vitrine : c’est le visage souriant de Joao, le copain de Lucie… Troublée, Maëlis ne parvient pas à leur dire la vérité. Moyen-métrage de Antonin Bonnot – France – 2024- VF 0h25 Avec Vincent Grass et Anne Cornu Animé par Fabien Baumann Daniel, quatre-vingts ans, se réveille un matin avec le sentiment que la journée sera particulière. Décidé à apprécier les petites choses de la vie une dernière fois, sa routine quotidienne va prendre une saveur inhabituelle. Moyen-métrage de Guillaume Ligoule – France – 2024 – VF 0h45 Avec Gaston Ré, Elios Levy, Naïma Maurel, Sipan Mouradian Animé par Fabien Baumann Sur les traces d’un amour passé, en hiver au cœur d’un élégant prieuré, Étienne rencontre Anaïs et Viktor, un jeune couple d’artistes. Charmé par Anaïs, Étienne accepte leur invitation à séjourner avec eux. De nouveaux sentiments s’éveillent alors[...]

photo Tempest Project

Tempest Project

Dijon 21000

Du /00/1e16 au //099

Peter Brook a plusieurs fois monté La Tempête. Pour cette création de 2021, initiée au Théâtre des Bouffes du Nord à Paris, Marie-Hélène Estienne et lui ont opté pour leur adaptation de la pièce de William Shakespeare, la dernière écrite par le célèbre dramaturge, selon eux. Cette version est voulue concentrée, « écourtée des mises en scène compliquées ou somptueuses » attachée à l'oeuvre originale. « Libre », le mot de la fin, résonne en filigrane et en écho. En effet, La Tempête est un conte où rien ne peut être pris à la lettre ; c'est une énigme traversée par l'idée de liberté recherchée aussi bien par l'esprit Ariel, l'esclave Caliban que le Magicien Prospero, confinés à leur façon sur une île, dans le passé voire à l'intérieur d'eux-mêmes. Ce n'est pourtant pas l'art de la magie qui libère Prospero, dévoré par le désir de se venger de ceux qui l'ont trahi et forcé à l'exil, mais le pardon notamment quand il verra l'amour que ressent sa fille Miranda pour le fils de son ennemi juré, le roi de Naples.