photo Ecole du Louvre -

Ecole du Louvre - "Une Première pierre en béton ! Petite histoire mondiale de l'architecture, de la Belle Époque aux Années Noi

Manifestation culturelle, Conférence - Débat

Saint-Julien-les-Villas 10800

Du 17/11/2021 au 15/12/2021

Le retour de l'École du Louvre ! "Une Première pierre en béton ! Petite histoire mondiale de l'architecture, de la Belle Époque aux Années Noires" Cycle thématique de 5 séances de 1h30 / Les mercredis de 17h30 à 19h Du 17 novembre au 15 décembre Sur inscription* / Payant / Pass sanitaire obligatoire Par Anne-Sophie Godot, docteure en histoire de l'art, spécialité architecture contemporaine, MAST UFR LEI, CYU Cergy-Paris Université, Chargée de cours, École du Louvre et Université d'Artois, Cheffe de projet-créatrice de contenus, société Araxès. Ornement et crime, Apollon dans la démocratie, Sur les quatre routes, Une couronne pour la ville. L’architecture de la première moitié du XXe siècle est marquée par de nombreux textes, reflets des pensées d’architectes de renommée internationale. Qu’elles soient d’art nouveau, d’art déco ou d’architecture moderne, les lignes, les formes – et les théories qui les construisent – voyagent au gré des expositions, des congrès et des paquebots. Soumis à de nombreux tumultes, les architectes se concentrent sur la création d’une architecture nouvelle, à destination du monde qui les entoure, à la fois social, politique et parfois élitiste.[...]

photo Conférence :

Conférence : "L'impossible mémoire allemande d'après-guerre"

Conférence - Débat

Troyes 10000

Le 21/10/2021

« L’impossible mémoire allemande d’après-guerre» par Itzhak Goldberg, Professeur émérite de l’université Jean Monnet, historien de l’art, commissaire d’exposition. Baselitz, Anselm Kiefer, Markus Lüpertz ou encore Jörg Immendorf sont des représentants d’une génération des artistes allemands née pendant et après la seconde guerre mondiale. Profondément marqués par un sentiment de culpabilité face à leur histoire, ces créateurs tentent de faire face à un passé qui reste insupportable et s’engagent dans un dialogue avec le passé récent de leur pays. En déclarant la fin des mensonges et des refoulements, ils revendiquent leur germanité et inscrivent leur production picturale dans une tradition expressionniste. Cependant, ils s'attaquent aux symboles glorieux de leur histoire, entachés pour toujours par la propagande nazie. On traitera les diverses stratégies que les peintres emploient afin de rendre évident l'élément critique de leur œuvre (l’ironie, le kitsch, la fausse nostalgie, le renversement du motif). On verra aussi, en les comparant à d’autres travaux qui se confrontent avec la mémoire (Jochen Gerz, Zoran Music…) l’ambigüité presque inévitable d’un art qui a choisi[...]