photo 25ème Mercredi de Marlenheim

25ème Mercredi de Marlenheim

Histoire - Civilisation

Marlenheim 67520

Le 04/12/2024

"Emile Friand, un déporté résistant marilégien !" Marlenheim a eu, comme tous les villages - alsaciens ou non – son lot de victimes de la guerre 1939-1945, ses incorporés de force, ses disparus, sa déportée assassinée en souvenir de laquelle a été posé en 2022 un Stolperstein. Notre commune se doit de célébrer aussi un « authentique héros des Forces Françaises Libres de la Résistance » (citation de sa médaille militaire) : Émile Friand, né en 1920, mort en 2012, Marilégien et pâtissier de son état. Ses années de guerre, entre 1940 et 1945, ressemblent à un récit picaresque, et pourraient donner lieu à un film haut en couleurs : expulsé de Moselle en 1940, soldat français dans l’armée d’Armistice, combattant en Tunisie, prisonnier de guerre en Allemagne puis au camp de Schirmeck, évadé, combattant résistant dans les Vosges, blessé et prisonnier à Viombois, et enfin engagé volontaire dans la 2e DB avec laquelle il termine la guerre avec son frère en août 1945 ! Une épopée ! Celle-ci nous sera racontée par François Blanchard : ancien responsable du Souvenir français, passionné par l’histoire de l’Alsace – et des Alsaciens ! - il s’attache, notamment à travers l’Annuaire d’histoire[...]

photo ICH BEN A BEESI FRAU – JE SUIS UNE MÉCHANTE FEMME

ICH BEN A BEESI FRAU – JE SUIS UNE MÉCHANTE FEMME

Manifestation culturelle

Strasbourg 67100

Le 25/03/2022

« Des idiots on en a suffisamment au village.Je suis sûre qu’il y a pas beaucoup de villages avec autant d’idiots que chez nous.Moi je ne suis pas idiote. Je suis méchante. Vraiment méchante.Méchante et rien d’autre.Il y en a qui sont méchants de temps en temps, et tout d’un coup doux comme un agneau.C’est pas mon genre. » Une campagne alsacienne au siècle dernier, un village parmi d’autres, une histoire comme il y en a beaucoup en ce temps-là : le viol d’une jeune fille un soir de bal. Enceinte, elle épouse son agresseur, et voilà Thérèse Ulmer devenue une « beesi Frau », drapée dans son armure de méchanceté parce qu’elle n’a plus rien d’autre, à part peut-être le rêve et le théâtre… Quand Thérèse et toutes les femmes privées d’amour viennent taper sur l’épaule de Francis Freyburger pour qu’il raconte leur histoire, il décide, avec la complicité d’Olivier Chapelet, de la mettre en scène… ou plutôt, sur l’estrade de bal, où elle va danser, jouer et raconter sa vie gâchée. Une parole sensible et fracassante qui révèle la profondeur du dialecte alsacien qu’on découvre ou qu’on retrouve avec délectation. ••• Spectacle en dialecte alsacien, surtitré en français.       

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ICH BEN A BEESI FRAU – JE SUIS UNE MÉCHANTE FEMME

Manifestation culturelle

Strasbourg 67100

Le 24/03/2022

« Des idiots on en a suffisamment au village.Je suis sûre qu’il y a pas beaucoup de villages avec autant d’idiots que chez nous.Moi je ne suis pas idiote. Je suis méchante. Vraiment méchante.Méchante et rien d’autre.Il y en a qui sont méchants de temps en temps, et tout d’un coup doux comme un agneau.C’est pas mon genre. » Une campagne alsacienne au siècle dernier, un village parmi d’autres, une histoire comme il y en a beaucoup en ce temps-là : le viol d’une jeune fille un soir de bal. Enceinte, elle épouse son agresseur, et voilà Thérèse Ulmer devenue une « beesi Frau », drapée dans son armure de méchanceté parce qu’elle n’a plus rien d’autre, à part peut-être le rêve et le théâtre… Quand Thérèse et toutes les femmes privées d’amour viennent taper sur l’épaule de Francis Freyburger pour qu’il raconte leur histoire, il décide, avec la complicité d’Olivier Chapelet, de la mettre en scène… ou plutôt, sur l’estrade de bal, où elle va danser, jouer et raconter sa vie gâchée. Une parole sensible et fracassante qui révèle la profondeur du dialecte alsacien qu’on découvre ou qu’on retrouve avec délectation. ••• Spectacle en dialecte alsacien, surtitré en français.       

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ICH BEN A BEESI FRAU – JE SUIS UNE MÉCHANTE FEMME

Manifestation culturelle

Strasbourg 67100

Le 23/03/2022

« Des idiots on en a suffisamment au village.Je suis sûre qu’il y a pas beaucoup de villages avec autant d’idiots que chez nous.Moi je ne suis pas idiote. Je suis méchante. Vraiment méchante.Méchante et rien d’autre.Il y en a qui sont méchants de temps en temps, et tout d’un coup doux comme un agneau.C’est pas mon genre. » Une campagne alsacienne au siècle dernier, un village parmi d’autres, une histoire comme il y en a beaucoup en ce temps-là : le viol d’une jeune fille un soir de bal. Enceinte, elle épouse son agresseur, et voilà Thérèse Ulmer devenue une « beesi Frau », drapée dans son armure de méchanceté parce qu’elle n’a plus rien d’autre, à part peut-être le rêve et le théâtre… Quand Thérèse et toutes les femmes privées d’amour viennent taper sur l’épaule de Francis Freyburger pour qu’il raconte leur histoire, il décide, avec la complicité d’Olivier Chapelet, de la mettre en scène… ou plutôt, sur l’estrade de bal, où elle va danser, jouer et raconter sa vie gâchée. Une parole sensible et fracassante qui révèle la profondeur du dialecte alsacien qu’on découvre ou qu’on retrouve avec délectation. ••• Spectacle en dialecte alsacien, surtitré en français.       

photo 3e mercredi de Marlenheim

3e mercredi de Marlenheim

Conférence - Débat, Patrimoine - Culture

Marlenheim 67520

Le 02/03/2022

« Stolpersteine: les pavés de la mémoire » par Julien Helfer Depuis trente ans plus de 80 000 de ces pavés ont été posés à travers toute l'Europe. Créées par l'artiste allemand Gunter Demnig, l'objectif de ces « pierres d'achoppement » - traduction littérale - vise à faire trébucher les consciences, en rappelant la mémoire de ceux qu'une idéologie mortifère a voulu effacer de la surface de la terre entre 1933 et 1945. Ainsi, dans les rues de nos villes et de nos villages, se construit le plus grand mémoriel décentralisé d'Europe. Julien Helfer, professeur d'Histoire au Collège Grégoire de Tours, accompagné de Paul Anthony, de Florian Mahon et d'anciens élèves, nous expliquera comment la pose de ces pavés de la mémoire entre dans le projet d'établissement du collège. L'Histoire ne prend sens pour les élèves – et pour nous ! - que si elle s'ancre dans notre quotidien: ainsi, c'est après avoir retrouvé, dans les archives départementales, la trace des habitants disparus de Marlenheim, Odratzheim, Scharrachbergheim et Balbronn dans les années quarante, qu'ils ont décidé de rappeler ainsi leur destin, en inaugurant un chemin de mémoire visible et accessible à tous partout. En[...]