photo Exposition - Du Mékong à la Vézère, les oubliés de l'histoire

Exposition - Du Mékong à la Vézère, les oubliés de l'histoire

Manifestation culturelle, Exposition

Les Eyzies-de-Tayac-Sireuil 24620

Du 16/05/2025 au 28/09/2025

Entre 1940 et 1948, environ 4 000 « Indochinois » sont recrutés majoritairement de force et envoyés en Dordogne pour travailler à la poudrerie de Bergerac, puis dans divers secteurs : agriculture, vigne, forestage, carbonisation, ramassage des châtaignes, etc. De 1941 à 1943, un millier d’entre eux participent au projet d’assainissement de la vallée des Beunes. Ils sont entassés dans des baraquements insalubres, contraints de travailler sans salaire, et soumis à un encadrement français imprégné de racisme colonial. Leur nourriture, déjà rationnée, est en partie détournée par leurs chefs. Ces conditions de vie affectent leur santé, entraînant de nombreux décès. De nombreuses archives documentent cette importation en Dordogne d’un système d’oppression propre aux colonies. En revanche, les photos sont rares. Celles présentées dans cette exposition proviennent de sources exceptionnelles .

photo Exposition - Du Mékong à la Vézère, les oubliés de l'histoire

Exposition - Du Mékong à la Vézère, les oubliés de l'histoire

Exposition, Patrimoine - Culture

Les Eyzies-de-Tayac-Sireuil 24620

Du 16/05/2025 au 28/09/2025

Entre 1940 et 1948, environ 4 000 « Indochinois » sont recrutés majoritairement de force et envoyés en Dordogne pour travailler à la poudrerie de Bergerac, puis dans divers secteurs : agriculture, vigne, forestage, carbonisation, ramassage des châtaignes, etc. De 1941 à 1943, un millier d’entre eux participent au projet d’assainissement de la vallée des Beunes. Ils sont entassés dans des baraquements insalubres, contraints de travailler sans salaire, et soumis à un encadrement français imprégné de racisme colonial. Leur nourriture, déjà rationnée, est en partie détournée par leurs chefs. Ces conditions de vie affectent leur santé, entraînant de nombreux décès. De nombreuses archives documentent cette importation en Dordogne d’un système d’oppression propre aux colonies. En revanche, les photos sont rares. Celles présentées dans cette exposition proviennent de sources exceptionnelles .