photo Opéra : Giuditta

Opéra : Giuditta

Musique

Mulhouse 68100

Du 01/06/2025 au 03/06/2025

Franz Lehár Comédie en musique en cinq tableaux. Livret de Paul Knepler et Fritz Löhner. Créée à l’Opéra de Vienne le 20 janvier 1934. Version française d’André Mauprey. « Et si la mort m’enlève, Je veux qu’elle m’achève Dans un baiser de flamme Où chantera le mot : aimer ! » Quand Giuditta se met à chanter l’amour au cabaret Alcazar, le temps suspend son vol. Elle a tout d’un oiseau de paradis ou d’un ange tombé du ciel. Plusieurs hommes ont tenté de l’enfermer dans une cage dorée et de l’attraper avec des rivières de diamants en guise de collets. Sans succès : la belle est aussi jalouse de sa liberté que de ses secrets. Personne ne connaît vraiment son histoire, ni l’oiseleur qui l’a découverte un jour sur une plage et l’a épousée sans lui poser de question, ni même ce beau légionnaire avec lequel elle s’est enfuie en Afrique du Nord. Qualifiée de « musikalische Komödie » par son auteur, la dernière œuvre de Lehár se rapproche bien plus des grands opéras de Puccini que des comédies musicales américaines, comme en témoigne sa création en grande pompe au Staatsoper de Vienne en 1934. Si Giuditta n’est pas sans rappeler certaines héroïnes lyriques (Carmen, Violetta, Mélisande)[...]

photo Opéra : Giuditta

Opéra : Giuditta

Manifestation culturelle

Mulhouse 68100

Du 01/06/2025 au 03/06/2025

Franz Lehár Comédie en musique en cinq tableaux. Livret de Paul Knepler et Fritz Löhner. Créée à l’Opéra de Vienne le 20 janvier 1934. Version française d’André Mauprey. « Et si la mort m’enlève, Je veux qu’elle m’achève Dans un baiser de flamme Où chantera le mot : aimer ! » Quand Giuditta se met à chanter l’amour au cabaret Alcazar, le temps suspend son vol. Elle a tout d’un oiseau de paradis ou d’un ange tombé du ciel. Plusieurs hommes ont tenté de l’enfermer dans une cage dorée et de l’attraper avec des rivières de diamants en guise de collets. Sans succès : la belle est aussi jalouse de sa liberté que de ses secrets. Personne ne connaît vraiment son histoire, ni l’oiseleur qui l’a découverte un jour sur une plage et l’a épousée sans lui poser de question, ni même ce beau légionnaire avec lequel elle s’est enfuie en Afrique du Nord. Qualifiée de « musikalische Komödie » par son auteur, la dernière œuvre de Lehár se rapproche bien plus des grands opéras de Puccini que des comédies musicales américaines, comme en témoigne sa création en grande pompe au Staatsoper de Vienne en 1934. Si Giuditta n’est pas sans rappeler certaines héroïnes lyriques (Carmen, Violetta, Mélisande)[...]

photo Lectures « L’efficacité du trait » au musée Champollion Figeac

Lectures « L’efficacité du trait » au musée Champollion Figeac

Exposition, Patrimoine - Culture, Pour enfants

Figeac 46100

Le 22/05/2025

Il y a trois ou quatre mille ans les grands ancêtres des civilisations qui se sont développées dans le berceau du fleuve Jaune (Huangdi, Fu Xi, Yu le Grand) ont essayé d’interpréter les signes qui les entouraient, ceux que les grandes énergies mettaient en jeu : les mouvements et les sons des vents, les empreintes laissées par les oiseaux sur le sable, les fissures créées par le feu sur les carapaces des tortues. Le symbole de Taiji (Yin-Yang), les trigrammes Yi Jing, les premiers pictogrammes qui évoluèrent ensuite vers les premiers caractères étaient nés. « Lorsque les symboles graphiques ont été inventés, les esprits sombres ne purifiaient pas leurs formes, même les démons visaient à hurler la nuit » nous raconte alors Zhang Yanyuan. De cette longue expérience patiente a commencé une standardisation des signes destinés à la fois à communiquer avec des forces intangibles et invisibles (les talismans encore aujourd’hui, comme on les appelait alors), et de plus en plus utilisés pour communiquer au niveau humain. Cette expérience est considérée comme adéquate à la réalité des choses. Les Chinois ont placé dans cette longue tradition de sagesse, considérée comme adéquate et[...]