photo Théâtre : 4211 km

Théâtre : 4211 km

Théâtre, Spectacle

Morlaix 29600

Le 21/01/2025

Compagnie Nouveau Jour Texte et mise en scène de Aïla Navidi Molières 2024 du « Meilleur spectacle de Théâtre Privé » et « Révélation Féminine » pour la comédienne Olivia Pavlou-Graham. Lauréate du fonds SACD 2022 ; Prix du Jury professionnel, Prix du Public, Prix du Jury Jeune du concours des compagnies du Festival d’Anjou 2023 ; Prix du public et Mention spéciale du prix Théâtre 13 2022 4211 km c’est la distance entre Paris et Téhéran, celle parcourue par Mina et Fereydoun, venus d’Iran pour se réfugier en France après une révolution qu’on leur a volée. Yalda, leur fille née à Paris, nous raconte leur vie exilée, l’amour d’un pays et l’espoir d’un retour. La metteure en scène et autrice Aïla Navidi tisse un grand récit qui emporte et bouleverse, un témoignage fort sur son histoire familiale, pour ne pas oublier. À travers le regard de Yalda, nous plongeons dans la famille Farhadi, des utopistes déracinés qui vivent dans l’espoir d’un retour au pays qui n’arrive pas. Elle raconte ses deux mondes : sa famille, des exilés discrets qui ne se plaignent jamais, et la société française dans laquelle elle cherche désespérément sa place. Cette saga familiale témoigne de la[...]

photo Nulle autre voix

Nulle autre voix

Poligny 39800

Le 21/01/2025

Théâtre - À partir de 16 ans - 1 H Compagnie El Ajouad Elle a tué un homme, son mari. Elle sort de prison, quinze ans après. Mais, après avoir purgé sa peine, a-t-elle vraiment retrouvé la liberté ? Être une femme en Algérie est déjà propice à l’enfermement et au silence. Être une femme condamnée pour avoir ôté la vie d’un homme est au-delà des mots. Une femme, qui se présente comme chercheuse, fait irruption dans sa vie. Jour après jour, par la force de la parole retrouvée, ces deux femmes que tout sépare vont à la rencontre l’une de l’autre. Un texte sur la violence ordinaire d’une société qui ne pardonne rien aux femmes, sur la violence réelle qu’une femme peut subir dans la honte et la douleur – jusqu’à ce que, parfois, elle commette l’irréparable. Texte Maissa Bey Adaptation théâtrale et mise en scène Kheireddine Lardjam Avec Linda Chaïb et Salah Gaoua Lumière Manu Cottin Son Thibaut Champagne Production Compagnie El Ajouad Coproduction Institut Français d’Algérie à Tlemcen Soutien Palais de la Culture de Tlemcen ORGANISATEUR Mi-Scène est une association loi 1901 entièrement gérée par des bénévoles. Elle est née en 2003, et s'attache à programmer des spectacles[...]

photo Il faut qu'une porte soit ouverte/fermée

Il faut qu'une porte soit ouverte/fermée

Spectacle, Théâtre, Manifestation culturelle

LENS, 62300

Le 21/01/2025

Comme le définit Sylvain Ledda : “ Le proverbe dramatique est une forme ludique dont Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée constitue un modèle du genre. À l’origine, le proverbe se joue entre deux paravents, face à un public directement concerné par l'intrigue et les personnages. L’intrigue est souvent simple et le nombre de personnages réduits. Au dénouement, un proverbe ou un adage est prononcé, qui éclaire rétrospectivement l’action dramatique.” Sous l’apparence d’une conversation, la pièce contient un motif fondamental et récurrent dans l’œuvre de Musset. Le duo. Le couple. L’homme et la femme face à face. L’amour, au centre de la relation entre deux êtres, ou plutôt l’expression de sa vérité au théâtre, de ce que l’on croit à travers l’expression littéraire, est au centre des préoccupations de l’auteur. Quel devrait être l’expression nécessaire et crédible de l’amour ? Qu’est ce qui fait que l’art du jeu de l’acteur et de la mise en scène donne à faire croire à l’expression des sentiments et des paroles dites ?

photo Danse : étrangler le temps

Danse : étrangler le temps

Danse - Bal - Cabaret

Amiens 80000

Du 21/01/2025 au 22/01/2025

En hommage au boléro 2 qu’ils ont créé avec Odile Duboc, Boris Charmatz et Emmanuelle Huynh revisitent librement la chorégraphie issue de leur mémoire. Cette réinterprétation est influencée par la phrase de Tatsumi Hijikata « Je voulais étrangler le temps » et la musique distendue de Maurice Ravel. Cette chorégraphie lente préserve les nuances sensibles du duo. Ralentie, trois fois, elle souligne chaque détail, chaque tension des muscles, chaque respiration du duo. Le flottement entre chaque mouvement laisse place à une improvisation pour trouver un équilibre parfait dans une danse étirée où tous les gestes sont expressifs. Générique Librement inspiré de boléro 2 (extrait du spectacle trois boléros, conçu par Odile Duboc et Françoise Michel, 1996) Avec Boris Charmatz Emmanuelle Huynh Dispositif scénique et lumière Yves Godin Son étirement du Boléro de Ravel, arrangements Olivier Renouf Production Production et diffusion Terrain Une production du Musée de la danse / Centre chorégraphique national de Rennes et de Bretagne (2009). SPECTACLE À VOIR DEBOUT / * EN CAS D’EMPÊCHEMENT À RESTER DEBOUT, MERCI DE CONTACTER L’ACCUEIL : ACCUEIL@MCA-AMIENS.COM