photo Li Garrigadas - Fête de printemps et de la Musique

Li Garrigadas - Fête de printemps et de la Musique

Musique, Fête, Chorale - Chant

Garrigues-Sainte-Eulalie 30190

Du 17/06/2021 au 19/06/2021

Dans le cadre du Total Festum et pendant 3 jours, Li Garrigadas - Fêtes de printemps propose une programmation variée : concerts, bal, exposition, procession et feu de la St Jean.Au programme des trois jours : Jeudi 17 juin : A la Bibliothèque 18h à 20h : Exposition de Marie Picard - CéramisteAu Foyer Municipal20h30 : Interprétation polyphonique de Calendau, épopée lyrique mistralienne.Vendredi 18 juin :Fête de la musique - Concerts : "Les Crécelles ", chants de comptoir occitan et d'ailleurs."Giorgio Cacchi" et son école de musique."ShowHer Band" et son rock.Samedi 19 juin : 18h : Grand Bal Traditionnel avec "Cabr'e Can" + Procession et Feu de la St Jean

photo Festival Autres Rivages - Soirée du 23 juillet

Festival Autres Rivages - Soirée du 23 juillet

Concert, Musique

Saint-Quentin-la-Poterie 30700

Du 15/07/2021 au 25/07/2021

Le Festival Autres Rivages continue son exploration des ailleurs pour cette 26ème édition. Au programme de la soirée : concert de Peroke (1ere partie) et Ti'kaniki (France et Cameroun / Colombie).PEROKELe duo Péroké est un bien drôle d’oiseau au plumage aussi déluré que leur son est bariolé, ou l’inverse. Un univers singulier et contagieux, mêlant le groove des traditions sonores africaines aux pulsations de la scène éléctronique européenne. La route de Péroké a suivi les chemins complexes de l’afrobeat et de l’électro pour les mener, après deux maxis, 80 dates en France, des passages ovationnés au Printemps de Bourges et aux Transmusicales, à cette fusion entre machines et instruments . Après un premier titre très remarqué «Minotaur», le duo revient avec son album «Animalis Tropism». Un album qui s’insère au plus profond du robotisme vaudou pour rendre encore plus intriguant le labyrinthe rythmique. La transe éléctro du duo ne laissera personne de marbre.TI'KANIKIFruit de l’esclavage, le "maloya" fut longtemps cantonné à des fêtes clandestines, les kabars, où les esclaves affirmaient leur désir d’indépendance dans une musique rituelle de transe. Ti’Kaniki poursuit ce processus[...]