photo Le 19 Crac : Marie Lorenz CONFLUENCE, Gaëlle Cognée LA FRONTIERE NE DORT JAMAIS

Le 19 Crac : Marie Lorenz CONFLUENCE, Gaëlle Cognée LA FRONTIERE NE DORT JAMAIS

Exposition, Science et technique

Montbéliard 25200

Du 21/09/2024 au 05/01/2025

Les expositions CONFLUENCE de Marie Lorenz et LA FRONTIÈRE NE DORT JAMAIS de Gaëlle Cognée s’intéressent, chacune à sa manière, aux notions de biens et de lieux du commun. À partir d’une observation des relations entre un milieu et les organismes qui le peuplent 2, les artistes considèrent leurs sujets de recherches comme des compagnes et compagnons de voyage à partir desquel·les il est possible de mouvoir la réalité vers une poétique. Elles adoptent une posture « anthropologique d’observation participante […] où la différence rassemble les êtres dans la mise en commun plutôt que de les diviser en opposant leur identités respectives 3 ». C’est donc en arpentant les territoires, qu’elles produisent de nouvelles narrations telles des artistes-conteuses.

photo Le Torrent du Monde

Le Torrent du Monde

Exposition

Flagey 25330

Du 01/10/2024 au 12/01/2025

Quentin Guichard (né en 1986) explore dans son travail l’énigme de nos origines. Observant les plis de la nature avant d’en saisir le mouvement secret, sa démarche aspire à saisir le souffle universel qui anime toute chose. Il porte le langage photographique à sa limite, par un prisme où l’invisible se révèle dans les fissures de la roche et les convolutions de l’eau. Son travail dresse une histoire poétique de la formation de l’espace et du temps, en quête de ce qu’il nomme l’épaisseur tellurique du réel. Pour cette exposition intitulée Le torrent du monde, expression empruntée à Paul Cézanne, Quentin Guichard poursuit sa quête originaire en créant un ensemble d’œuvres inédites, issues de plusieurs phases de résidence en Pays de Courbet, où matières et lumière se nourrissent de correspondances secrètes avec la peinture de Gustave Courbet. Des éruptions basaltiques d’Islande aux parois calcaires de la Loue, l’artiste cherche l’unité du vivant dans les failles de la roche, prolongeant le désir du maître d’Ornans à faire penser les pierres.