photo Visite théâtralisée : Nouvelle ville, femme nouvelle

Visite théâtralisée : Nouvelle ville, femme nouvelle

Théâtre, Visites et circuits, Patrimoine - Culture, Manifestation culturelle, Patrimoine - Culture

LE HAVRE 76600

Le 08/03/2025

De la parfaite maîtresse de maison de magazine, la femme a laissé au fil du temps transparaître ses aspirations : travailler et se libérer du carcan imposé depuis son enfance. À travers le personnage de « Madame », c’est l'évolution de la place de la femme au cours des Trente Glorieuses qui se dessine : lois, mentalités, formations, accès à l’emploi, libertés... Au coeur de l'Appartement témoin, la comédienne vous dresse avec humour le portrait des femmes des années 1950 en marche pour leur émancipation. Par la Compagnie Piano à Pouces Théâtre À partir de 12 ans - durée : 1h Lieu de rendez-vous communiqué lors de l'inscription Réservation obligatoire (lien de réservation à venir prochainement)

photo Spectacle sur grand écran : Daniel Guichard en concert

Spectacle sur grand écran : Daniel Guichard en concert

Concert

Pernes 62550

Du 00/00/-100 au 99/99/-199

Accompagné de douze musiciens, Daniel Guichard reprends sur scène ses plus grands titres : Mon vieux, La tendresse, Le gitan, Je viens pas te parler d’amour…, et nous fais découvrir ses nouveaux titres : Dans le coeur, A coups de poings, Mes silences, Combien de fois…. Son accent de titi Parisien et son franc-parler assortis d’une pointe d’humour le placent parmi les chanteurs les plus populaires de sa génération. Très jeune, Daniel Guichard ressent le besoin de chanter sa vie. Après avoir travaillé aux Halles, il décroche un emploi de disquaire chez Barclay, et se produit le soir dans les cabarets parisiens. Il donne de la voix de “parigot”, chez Patachou, à l’Alcazar ou encore au Bouchon où il interprète les chansons d’Aristide Bruand. En 1966, il rejoint la maison Barclay mais cette fois en qualité d’artiste. Six ans plus tard, il connaît ses premiers succès avec “La tendresse”. Daniel Guichard collabore alors, avec les plus grands, notamment avec Jean Ferrat et Michel Senlis qui lui écrivent “Mon vieux”, un hommage à son père qui meurt alors qu’il n’a que 15 ans. Christophe lui offre la musique d’un autre grand “classique”, “Faut pas pleurer comme ça”. Daniel Guichard[...]