photo Théâtre L'Empreinte : Les Moments doux

Théâtre L'Empreinte : Les Moments doux

Théâtre, Danse - Bal - Cabaret, Manifestation sportive

Tulle 19000

Le 15/04/2025

Avec un titre comme à contre-emploi, Les moments doux auscultent toute la violence qui irrigue nos rapports sociaux. Un passionnant laboratoire à hauteur d’humanité. Élise Chatauret aime questionner le monde qui l’entoure avec les moyens du théâtre et de l’enquête documentaire (Saint-Félix, Enquête sur un hameau français). Ici, c’est l’affaire des chemises arrachées d’Air France qui a initié son désir de mieux saisir les rapports de domination. Existe-t-il une violence légitime ? Peut-on échapper à la violence ? Comment la représenter ? Dans un décor ultraréaliste, qui passe de l’open space aux néons blafards, au salon familial cosy, à la salle de classe impersonnelle, les six comédien·ne·s se font tour à tour professeurs dépassés, parents stressés, salariés bafoués, directrice RH intransigeante, enfants harcelés.

photo Spectacle sur grand écran : Daniel Guichard en concert

Spectacle sur grand écran : Daniel Guichard en concert

Concert

Pernes 62550

Du 00/00/-100 au 99/99/-199

Accompagné de douze musiciens, Daniel Guichard reprends sur scène ses plus grands titres : Mon vieux, La tendresse, Le gitan, Je viens pas te parler d’amour…, et nous fais découvrir ses nouveaux titres : Dans le coeur, A coups de poings, Mes silences, Combien de fois…. Son accent de titi Parisien et son franc-parler assortis d’une pointe d’humour le placent parmi les chanteurs les plus populaires de sa génération. Très jeune, Daniel Guichard ressent le besoin de chanter sa vie. Après avoir travaillé aux Halles, il décroche un emploi de disquaire chez Barclay, et se produit le soir dans les cabarets parisiens. Il donne de la voix de “parigot”, chez Patachou, à l’Alcazar ou encore au Bouchon où il interprète les chansons d’Aristide Bruand. En 1966, il rejoint la maison Barclay mais cette fois en qualité d’artiste. Six ans plus tard, il connaît ses premiers succès avec “La tendresse”. Daniel Guichard collabore alors, avec les plus grands, notamment avec Jean Ferrat et Michel Senlis qui lui écrivent “Mon vieux”, un hommage à son père qui meurt alors qu’il n’a que 15 ans. Christophe lui offre la musique d’un autre grand “classique”, “Faut pas pleurer comme ça”. Daniel Guichard[...]