photo Conférence sur l'Histoire de l'art / La nativité : L’Art sous le sapin…

Conférence sur l'Histoire de l'art / La nativité : L’Art sous le sapin…

Nature - Environnement, Conférence - Débat

Vieux-Boucau-les-Bains 40480

Le 04/12/2024

Joyeux Noël ! Sapins, guirlandes et autres crèches lumineuses ornent aujourd’hui nos intérieurs, commerces et mairies, questionnant ainsi le caractère laïque de cette célébration, qui trouve pourtant son origine à l’Antiquité, où les Romains s’offraient déjà de nombreux présents à cette même période de l’année, à l’occasion des Saturnales. C’est pour autant la religion chrétienne qui installera tout le fondement ritualisé et conscientisé de cette ferveur, puisque derrière la fête sans doute la plus populaire et répandue qui soit se raconte la Nativité. La naissance de Jésus Christ, à Bethléem, le 25 décembre, constitue l’un des chapitres les plus importants des textes sacrés, en tant que preuve de l’effective réalisation de l’Incarnation divine pour la rédemption possible de l’humanité. Conférence présentée par Jean-Philippe MERCĒ, conseiller pédagogique départemental en Arts Visuels,

photo Conférence sur l'Histoire de l'art / La nativité : L’Art sous le sapin…

Conférence sur l'Histoire de l'art / La nativité : L’Art sous le sapin…

Manifestation culturelle, Atelier, Atelier, Conférence - Débat

Vieux-Boucau-les-Bains 40480

Le 04/12/2024

Joyeux Noël ! Sapins, guirlandes et autres crèches lumineuses ornent aujourd’hui nos intérieurs, commerces et mairies, questionnant ainsi le caractère laïque de cette célébration, qui trouve pourtant son origine à l’Antiquité, où les Romains s’offraient déjà de nombreux présents à cette même période de l’année, à l’occasion des Saturnales. C’est pour autant la religion chrétienne qui installera tout le fondement ritualisé et conscientisé de cette ferveur, puisque derrière la fête sans doute la plus populaire et répandue qui soit se raconte la Nativité. La naissance de Jésus Christ, à Bethléem, le 25 décembre, constitue l’un des chapitres les plus importants des textes sacrés, en tant que preuve de l’effective réalisation de l’Incarnation divine pour la rédemption possible de l’humanité. Conférence présentée par Jean-Philippe MERCĒ, conseiller pédagogique départemental en Arts Visuels,

photo Conférence sur l'Histoire de l'art / Quand l'art donne corps au mouvement

Conférence sur l'Histoire de l'art / Quand l'art donne corps au mouvement

Histoire - Civilisation, Conférence - Débat

Vieux-Boucau-les-Bains 40480

Le 02/02/2022

En partenariat avec l’association « La Voix des Boucalais » L'homme est en perpétuel mouvement, dont la représentation devient un enjeu permanent inévitable dans l'histoire de l'art. Véritable défi construit sur sa réalité par l'engagement du corps dans l'espace et le temps. Les artistes ont dû inventer quelques subterfuges plastiques, entre hésitations formelles, gestuelles exagérées et décompositions de mouvement. La perspective au XVème siècle, illusion d'un espace tridimensionnel centré où le corps s'inscrit, et la photographie au XIXème siècle, déconstruction du mouvement en étapes, ont ouvert le champ des possibles.

photo Conférence sur l'Histoire de l'art / La marche de l'art, Des artistes en déplacement.

Conférence sur l'Histoire de l'art / La marche de l'art, Des artistes en déplacement.

Nature - Environnement, Conférence - Débat

Vieux-Boucau-les-Bains 40480

Le 02/03/2022

Conférence présentée par Jean-Philippe MERCẺ,. En partenariat avec l’association « La Voix des Boucalais » « Marcher, c’est comme dessiner le temps qui passe. » Richard Long Un homme qui marche est un homme en mouvement, donc en vie. C’est ainsi que depuis l’Antiquité les artistes représentent l’humanité « en marche » dans cette symbolique d’un volontarisme à affirmer, d’un destin à accomplir ou d’une détermination assumée. Au-delà de sa représentation, et en tant qu’acte performatif, la marche devient une réelle démarche artistique depuis les années 60, en réaction à l’immobilisme de l’homme englué dans le consumérisme de masse. Les artistes sortent donc des ateliers et des musées pour arpenter la nature, et se réapproprier ainsi la notion de territoire.