photo La petite sirène

La petite sirène

Opéra - Opérette

Marseille 13000

Du 03/04/2025 au 05/04/2025

Régis Campo Découvrant un jour au fil de ses pérégrinations un beau jeune homme sur un bateau, la Petite Sirène, tombée follement amoureuse de lui, voulut quitter le monde de la mer pour celui des humains. Mais l’amour réserve souvent bien des désillusions… Pour son nouvel opéra, le compositeur marseillais Régis Campo a choisi de réinvestir le célèbre conte d’Andersen et d’en montrer toute la modernité. Par-delà la terrible cruauté de cette histoire, il nous parle ici d’amour, de renoncement, d’accueil de l’autre dans sa différence… Avec son style toujours si alerte et coloré, dans un langage à la fois simple et toujours si profond, il nous propose un ouvrage qui parlera autant aux plus jeunes qu’aux adultes. Magique et féerique, cet opéra est une merveilleuse ode à l’amour, à l’entraide, au refus de la vengeance et de la violence. OPÉRA FÉERIQUE D’après le conte de Hans Christian ANDERSEN NOUVELLE PRODUCTION À PARTIR DE 7 ANS Création mondiale OPÉRA AU SUD, une initiative de la Région SUD Provence-Alpes-Côte d'Azur COPRODUCTION ARSUD / Opéra Nice Côte d’Azur / Opéra Grand Avignon / Opéra-Toulon Provence Méditerranée / Pôle Opéra de Marseille[...]

photo Exposition photo

Exposition photo "sortie de réserve" par Morgan Mirocolo

Patrimoine - Culture, Photographie - Vidéo

Marseille 13000

Du 11/01/2025 au 15/03/2025

Le Musée Provençal demeure aujourd’hui, par l’ampleur de ses collections, le second musée d’ethnographie de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur après le Museon Arlaten. Jouant avec l’état plus qu’insolite du lieu (le musée est quasi centenaire) et l’étonnante profusion des oeuvres, Morgan Mirocolo a pris le parti d’y photographier des Arlésiennes, parfois non sans humour, au milieu des liasses de registres d’inventaire, des montagnes de caisses de conditionnement, des nuages de papier de soie et de flots de papier-bulle qui servent à transférer momentanément les collections vers de nouvelles réserves. Il y a parmi elles d’anciennes reines d’Arles, mais aussi des beautés anonymes, passionnées par ce musée et sensibles à son âme. Sur les piles de cartons, au fond des profondes armoires de mariage et dans les secrets des tiroirs, ces muses viennent momentanément ranimer le souvenir d’une société qui s’est lentement évaporée.