photo THÉÂTRE - ÇA RÉPÈTE À NANCY - MON MONSTRE À MOI

THÉÂTRE - ÇA RÉPÈTE À NANCY - MON MONSTRE À MOI

Bien-être, Sports nautiques

Nancy 54000

Le 02/04/2022

De septembre à mai, sept compagnies professionnelles se succèdent en résidence au Théâtre de Mon Désert, grâce au dispositif « Ça répète à Nancy », mis en place depuis 3 ans par la Ville de Nancy. Sasha est triste parce que, cet après-midi, à la piscine, tout le monde s’est moqué de lui. Le maître-nageur l’a jeté dans l’eau, parce qu’il ne voulait pas y aller. Il a bien cru qu’il allait mourir… Il aurait peut-être mieux fallu ! Ils se sont tous moqués parce que « C’est le fils de la dame de la piscine, et il sait même pas nager… La honte ! » Pourtant il faudra bien qu’il plonge. C’est ce que tout le monde lui dit. Mais pour cela, il devra dépasser les railleries, ses tics, ses tocs et ses superstitions. Sasha est un enfant comme ça : terrifié de tout, avec une peur plus grande que lui, presque aussi grande que...QUE LE MONSTRE QUI APPARAÎT DERRIÈRE LUI ! MMàM est un road trip de chambre qui aborde la question du corps et des difficultés qu’on a souvent à le reconnaître et à l’aimer. A huit-clos, une danse suspendue avec son moi, son autre. Sasha défie ses peurs, affronte ses angoisses, parfois même jusqu’à en rire.

photo D'UN MATIN DE PRINTEMPS

D'UN MATIN DE PRINTEMPS

Cinéma

NANCY 54000

Du 10/03/2022 à 19:30 au 11/03/2022 à 20:30

Ver Sacrum ! De la Sécession viennoise à l'École de Nancy, de Bruxelles à Prague en passant par Paris, le mot d'ordre de l'Art Nouveau éclate aux quatre coins de l'Europe : Printemps sacré ! Printemps, parce que les volutes végétales et stylisées en sont un des motifs décoratifs essentiels. Printemps, parce que les mois du regain et du réveil des forces vitales ont toujours inspiré les mouvements novateurs. Cette saison d'effervescence et de renouveau des arts inspire aujourd'hui la clarinettiste belge Annelien Van Wauwe et Marta Gardoliñska autour de quatre œuvres d'un Art Nouveau musical. La compositrice Lili Boulanger aura vécu comme un printemps, fauchée en pleine jeunesse - et en plein talent - à 24 ans, et ce printemps, elle le chante encore dans une de ses dernières partitions achevées, hymne à la Nature plein de fraîcheur, de transparence et d'allégresse. Virevoltante et langoureuse, la clarinette prend des accents jazzy dans la trop méconnue Rhapsodie de Debussy. Dans la forme d'une pièce de concours, le compositeur fait entrer une façon de relecture de son Prélude à l'Après-midi d'un faune où les moires impressionnistes seraient troquées contre les couleurs vives[...]