photo UNE HISTOIRE DE LA MUSIQUE

UNE HISTOIRE DE LA MUSIQUE

Musique classique

PARIS 08 75008

Le 08/03/2022 à 20:00

Elsa Dreisig / soprano Philippe Jaroussky / contre-ténor Stéphane Degout / baryton Trio Wanderer Quatuor Modigliani Xavier Phillips / violoncelle Marie-Josèphe Jude / piano Une date symbolique et des artistes prestigieux pour célébrer les femmes compositrices à travers l'histoire. Programme UNE HISTOIRE DE LA MUSIQUE AU FEMININ Œuvres de Mel Bonis, Lili et Nadia Boulanger, Cécile Chaminade, Louise Farrenc, Augusta Holmès, Elisabeth Jacquet de La Guerre, Pauline Viardot… Si pratiquer un instrument de musique faisait partie de l'instruction de toute jeune fille de bonne famille, mener carrière d'instrumentiste et ou de compositrice relevait jadis de « l'extra ordinaire ». Les femmes compositrices au programme de cette soirée connurent toutes ainsi un destin hors du commun. Ce qui les rassemble est avant tout une forte personnalité et un talent indéniable pour lequel elles ont bien souvent dû se battre pour le faire reconnaître. Plusieurs d'entre elles furent aidées et encouragées par leur environnement familial mais pas toutes. Si Pauline Viardot (1821-1910) bénéficia de l'aura de son père ténor et surtout de sa célèbre sœur la Malibran, Augusta Holmès (1847-1903) de[...]

photo EMOKE BARATH

EMOKE BARATH

Musique classique

PARIS 08 75008

Le 11/03/2022 à 20:00

Emõke Baráth / soprano Ensemble Artaserse Philippe Jaroussky / direction La beauté grave du chant d'Emõke Baráth guidée par son complice Philippe Jaroussky. PROGRAMME HAENDEL FOREVER Haendel « Qual nave smarrita », air extrait de Radamisto « Qual Leon », air extrait d' Arianna in Creta « Sirti, scogli, tempeste, procelle », air extrait de Flavio « Se ria procella », air extrait de Faramondo « Ombra cara », air extrait de Radamisto « Da tempeste il legno infranto », air extrait de Giulio Cesare « Ombre pallide », air extrait d' Alcina « Scherza in mar la navicella », air extrait de Lotario « Ombre, piante », air extrait de Rodelinda A LIRE On parle souvent de Haendel et de ses castrats, fort légitimement car les Carestini, Caffarelli ou Senesino se virent confier des pages inoubliables. Mais les voix féminines n'étaient pas en reste et le compositeur délivra pour ces dames des airs non moins sublimes. Par la force de ses incarnations, Emõke Baráth s'en montre la digne héritière. Mais, forte de la très large tessiture de sa voix et d'une beauté de timbre ensorcelante, elle rend ainsi hommage aux grandes sopranos pour lesquelles Haendel vouait un amour sans borne[...]

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