PIGMENTS

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  • Lagnes

aménagement pmr
  • Personnes à mobilité réduite, Personnes malvoyantes
  • Payant
  • Du 05/10/2018 à 20:30 au 05/10/2018 à 23:00

 

Texte de Nicolas TAFFIN

Mis en scène par Elodie WALLACE

 

 md+

Texte de Nicolas TAFFIN

Mis en scène par Elodie WALLACE

 

 

 

 

 

Il est neuro psychiatre, elle est peintre : un couple fusionnel jusqu’à ce que…tout bascule ; surprise émotion, suspense, subtil et fabuleux chemin de reconstruction de soi et de la relation, avec humour, cruauté parfois et une immense tendresse. Des dialogues justes, qui fusent sans temps mort, un jeu d’acteurs tout en finesse et précision qui nous prend par la main sans jamais nous perdre.

Note d’intention de l’auteur

Pigments ne devait reposer que sur un couple. Pas d'autres interventions physiques, aucune échappatoire possible, rien ni personne sur qui s'appuyer, juste un ouragan extérieur qui dévaste sans jamais se montrer et laisse deux êtres livrés à eux-mêmes. L'histoire de Chloé et Nicolas est douce et cruelle. C'est un amour qui électrise le corps, l'âme et le cœur du spectateur par sa vérité brute et implacable.

Les moments de « violence » sont contrebalancés par des vagues de grande tendresse, de rêve parfois, et d'humour souvent. Comédie dramatique ou dramatique comédie, chacun se fera son idée.

La mise en scène

Pas de fioritures. Juste la vérité crue et parfois brutale d’un couple qui vacille.

L’élément central de la scénographie est cette toile composée de fils blancs. Au commencement, ils sont le support d’une vie commune, de souvenirs partagés, des différentes images de l’amour qui remplit cet appartement.

Puis ils sont nus. Soudainement. Juste le vide angoissant d’une toile vierge. Chloé n’a plus que ce labyrinthe incolore qui ne la mène nulle part, des fils aussi ténus que ses souvenirs qui s’évaporent. Petit à petit, elle va rassembler les pièces du puzzle et reconstruire une image douloureuse, mais désormais claire.

La Presse en parle

La poésie apparaît par petites touches pour attiser l’émotion. Difficile de quitter des yeux ces deux acteurs qui se mettent à nu. Un moment de théâtre tendre et divertissant qui touche au cœur. Publik’Art

Le faire artistique de N. TAFFIN est composé de petites touches très précises, vives, éclatantes, d’une palette aux multiples tons et de pinceaux délicats et vifs, dans tous les cas très colorés».

De la cour au jardin

 

 

 

 

Il est neuro psychiatre, elle est peintre : un couple fusionnel jusqu’à ce que…tout bascule ; surprise émotion, suspense, subtil et fabuleux chemin de reconstruction de soi et de la relation, avec humour, cruauté parfois et une immense tendresse. Des dialogues justes, qui fusent sans temps mort, un jeu d’acteurs tout en finesse et précision qui nous prend par la main sans jamais nous perdre.

Note d’intention de l’auteur

Pigments ne devait reposer que sur un couple. Pas d'autres interventions physiques, aucune échappatoire possible, rien ni personne sur qui s'appuyer, juste un ouragan extérieur qui dévaste sans jamais se montrer et laisse deux êtres livrés à eux-mêmes. L'histoire de Chloé et Nicolas est douce et cruelle. C'est un amour qui électrise le corps, l'âme et le cœur du spectateur par sa vérité brute et implacable.

Les moments de « violence » sont contrebalancés par des vagues de grande tendresse, de rêve parfois, et d'humour souvent. Comédie dramatique ou dramatique comédie, chacun se fera son idée.

La mise en scène

Pas de fioritures. Juste la vérité crue et parfois brutale d’un couple qui vacille.

L’élément central de la scénographie est cette toile composée de fils blancs. Au commencement, ils sont le support d’une vie commune, de souvenirs partagés, des différentes images de l’amour qui remplit cet appartement.

Puis ils sont nus. Soudainement. Juste le vide angoissant d’une toile vierge. Chloé n’a plus que ce labyrinthe incolore qui ne la mène nulle part, des fils aussi ténus que ses souvenirs qui s’évaporent. Petit à petit, elle va rassembler les pièces du puzzle et reconstruire une image douloureuse, mais désormais claire.

La Presse en parle

La poésie apparaît par petites touches pour attiser l’émotion. Difficile de quitter des yeux ces deux acteurs qui se mettent à nu. Un moment de théâtre tendre et divertissant qui touche au cœur. Publik’Art

Le faire artistique de N. TAFFIN est composé de petites touches très précises, vives, éclatantes, d’une palette aux multiples tons et de pinceaux délicats et vifs, dans tous les cas très colorés».

De la cour au jardin

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