informations générales
- Le 19/11/2016
« Barbouillot d’pain sec » est un reportage, côté cœur, dans un village de nulle part.
Les héros de ces « histoires vraies qu’auraient pu arriver » traversent la place en pensant : « Dans la vie, y’a pas toujours pied ! »
Au bistrot du bar, régulièrement transformé en salon philosophique, on parie sa paire de bretelles que la fin du monde est pas pour demain… ou qu’elle a déjà eu lieu et qu’on a pas fait attention !
Pendant ce temps-là, Raoul Pigot promène sa jument « Jean-Louis », en glosant sur les avantages d’un voyage à Lourdes et les inconvénients des boites en plastiques…
En se cachant un peu, beaucoup, derrière sa guitare, Michel BOUTET rêvait depuis longtemps d’offrir ses racontages, à voix nue. C’est chose faite avec ce spectacle où le chanteur se fait comédien. Les portraits qu’il nous révèle dans « Barbouillot d’pain sec » donnent à voir le monde sublime et dérisoire des gens, ces drôles de zèbres qui affirment ce qui affirment ce qu’ils ignorent, ou inversement, mais s’émeuvent toujours en bougonnant.
C’est drôle, féroce, bourré de tendresse. Ca donne de l’air, comme un voyage, un sourire, une chanson.
(Pierre Cerfeuil)
SPECTACLE ORGANISE PAR LA BIBLIOTHEQUE DEPARTEMENTALE DANS LE CADRE DE CONTES D'AUTOMNE
Les héros de ces « histoires vraies qu’auraient pu arriver » traversent la place en pensant : « Dans la vie, y’a pas toujours pied ! »
Au bistrot du bar, régulièrement transformé en salon philosophique, on parie sa paire de bretelles que la fin du monde est pas pour demain… ou qu’elle a déjà eu lieu et qu’on a pas fait attention !
Pendant ce temps-là, Raoul Pigot promène sa jument « Jean-Louis », en glosant sur les avantages d’un voyage à Lourdes et les inconvénients des boites en plastiques…
En se cachant un peu, beaucoup, derrière sa guitare, Michel BOUTET rêvait depuis longtemps d’offrir ses racontages, à voix nue. C’est chose faite avec ce spectacle où le chanteur se fait comédien. Les portraits qu’il nous révèle dans « Barbouillot d’pain sec » donnent à voir le monde sublime et dérisoire des gens, ces drôles de zèbres qui affirment ce qui affirment ce qu’ils ignorent, ou inversement, mais s’émeuvent toujours en bougonnant.
C’est drôle, féroce, bourré de tendresse. Ca donne de l’air, comme un voyage, un sourire, une chanson.
(Pierre Cerfeuil)
SPECTACLE ORGANISE PAR LA BIBLIOTHEQUE DEPARTEMENTALE DANS LE CADRE DE CONTES D'AUTOMNE
