Rita Parker

Préférer les marges, les paradoxes, les limites, les interstices, les bégaiements, les actes manqués, les mots à l’envers. Ma démarche s’adapte au terrain, au milieu dans lequel je vis. Suivre le chemin de mes pensées et construire des maisons sur le bord de la route, se questionner sur le réel, trébucher sur les doutes. J’observe l’accident et repars avec des données nouvelles à explorer. Cette posture permet une découverte permanente de ce qui m’entoure et de ce qui m’enfouit. Influencée par Dada, Fluxus, le Situationnisme, le Land Art et le mouvement Punk, je trace ma route.

Mon travail parle de cette déambulation. J’utilise les images fixes, en mouvement, sonores et le dessin.