la Galerie Haute accueille des installations et
projections qui utilisent différentes modalités du
cinéma sous la forme de collages, de
films ou de
photographies. L'
artiste utilise notamment une intelligence artificielle générative pour simuler des documents à la fois possibles et impossibles, ce qui permet de créer une archive spéculative qui se nourrit des rêves oubliés et des utopies du cinéma. Cette approche expérimentale propose une réflexion sur la transformation du cinéma à l'ère numérique, questionnant non seulement son histoire et son évolution technologique, mais aussi la place de l'intelligence artificielle comme outil de création artistique. Érik explore une temporalité au futur antérieur, imaginant des récits de cinéma qui n'existeront peut-être jamais.